dimanche 11 novembre 2007

Developpement durable : les outils de l'ADEME pour évaluer son impact sur l'environnement

Le constat est clair : par nos modes de vie, nous contribuons tous au réchauffement climatique.

Déplacements, habitat, achats, loisirs… notre vie quotidienne implique aujourd’hui l’émission de gaz à effet de serre en quantité, qu’il s’agit de réduire rapidement.


Bonne nouvelle : vous pouvez facilement devenir un éco-citoyen !

Réfléchissez à vos habitudes, sources de nombreux gaspillages (production de déchets par exemple) ou de surconsommation (l’énergie sous toute ses formes) - et souvent peu économes ! Mais peut-être n’avez-vous pas exactement idée de votre impact sur l’augmentation de l’effet de serre ?

Après une nécessaire mise au point, les outils que vous trouverez dans les pages je me lance et j’approfondis, vous permettront d’évaluer vos émissions totales de gaz à effet de serre, et cela de manière progressive : la précision des résultats sera proportionnelle aux informations dont vous disposez.

Alors prenez quelques minutes pour vous évaluer !

A tester : "J’évalue les impacts de mes déplacements quotidiens" (calculette)

Source : Ademe

vendredi 2 novembre 2007

Spécial "fixer sur tous supports" de Misterbricolo

Fixer dans un mur en briques creuses

Deux cas différents selon la charge:1/ Pour une fixation légère, utiliser des chevilles plastique de type crocodile qui s'ouvrent dans le creux de la brique au vissage.2/ Pour une fixation lourde, choisir des chevilles déformables ou à expansion (en caoutchouc, en métal ou en plomb).Au vissage, le corps de la cheville remonte le long de la vis et s'écarte derrière la paroi de brique. Ces chevilles sont habituellement vendues avec leur vis. Toujours bien percer au diamètre précis de la cheville.
Fixer des panneaux muraux lourds

En doublage de mur, on fixe couramment des plaques de plâtre ou des panneaux de particules. Ces panneaux de grand format et lourds, sont collés à la colle- mastic ou vissés sur une ossature de tasseaux, avec un jeu d'un ou deux centimètres au-dessus du sol.Pour positionner facilement le panneau, il suffit d'utiliser la technique du levier :1/ Glisser sous le panneau, au centre, un burin.2/ Placer une cale sous le burin, juste en avant du panneau.3/ Avec le pied, appuyer sur le bout du burin pour lever, plus ou moins, le panneau.

Fixer avec de la pâte à sceller

Une fixation qui s'arrache, laisse parfois un trou très irrégulier dans lequel on ne peut pas remettre une cheville. Pour une fixation légère, on peut utiliser de la pâte de scellement à base de résine et de fibres :1/ Mélanger de la pâte avec un peu d'eau et malaxer.2/ Remplir le trou jusqu'au fond avec la pâte en tassant bien avec une tête de clou.3/ Avec une pointe faire un avant-trou dans la pâte et réaliser la fixation avec une vis de longueur suffisante.

Fixer des crochets adhésifs

De nombreux modèles de crochets décoratifs sont adhésifs et destinés à accrocher des objets dans la salle de bains ou la cuisine : serviettes, gants, torchons, balais, casseroles... Ces crochets tiennent beaucoup mieux qu'on ne le pense, à condition de les poser correctement.1/ Ne poser un crochet adhésif que sur une surface lisse, solide, parfaitement propre et sèche.2/ Par principe, nettoyer la surface où sera posé le crochet avec du trichloréthylène.3/ Laisser sécher et poser le crochet en appuyant fort.4/ Attendre quelques heures avant d'y accrocher un objet.

Fixer une huisserie dans du béton

La pose des huisseries de portes et fenêtres dans des murs en béton s'effectuent par chevillage plutôt que par pattes à scellement. On utilise pour cela des chevilles en nylon (type Fischer) à col long (de l'épaisseur de l'huisserie, plus les cales). L'huisserie étant calée en place, percer le bois, les cales et le béton, avec une mèche longue au carbure de tungstène. Enfiler la vis dans la cheville, introduire celle-ci à fond dans le trou et visser. Seule l'extrémité crantée de la cheville s'expansé dans le béton.

samedi 27 octobre 2007

Entretenir sa pelouse en automne

L'automne est une période particulière pour la gazon. A la fin de l'été, avec les premières pluies les gazons non arrosés sortent de leur dormance naturelle, poussent, et constituent des réserves pour bien passer l'hiver.

L'automne est une bonne période pour pas mal d'opérations : scarification, aération, semis d'un nouveau gazon, apport d'engrais...


Tonte du gazon.

Vous pouvez tondre assez court pendant la période de croissance du gazon. Relevez progressivement la hauteur de coupe à l'approche de l'hiver. Le gazon a besoin de son feuillage pour se fortifier avant la période froide. Dans les régions avec de longues périodes d'enneigement (Canada par exemple) certains recommandent de tondre court avant l'hiver, cela permettrait en particulier au sol de sécher plus vite après la fonte des neiges ainsi que d'éviter que le gazon ne moisisse (snow mold en anglais).

Engrais.

Avec le printemps, c'est une période intéressante pour apporter de l'engrais au gazon. N'utilisez pas d'engrais à base d'azote minéral (effet "coup de fouet" ou "verdissement rapide" sur les boites d'engrais). Préférez des engrais avec de l'azote organique qui se libérera doucement au printemps qui arrive. Choisissez des engrais riches en phosphore (P) et en potassium (K) qui permettront au système racinaire et à la structure de la plante de se fortifier. Si votre sol est trop acide (faites une analyse pour le savoir), la période est propice au chaulage.

Scarification et décompactage.

C'est la période idéale pour l'une et l'autre de ces opérations. Voir scarification et le décompactage.

Semis et sursemis.

La période est idéale : la terre est encore chaude, la concurrence avec les mauvaises herbes est moins vive, le jeune gazon résiste bien au froid, vous économiserez l'eau de l'arrosage, le gazon sera bien établi au printemps lorsque vous (ou vos enfants) aurez "besoin" de le piétiner. Attention cependant, certaines espèces (comme les XXX) mettent longtemps à germer et préfèrent un semis printanier (ou alors tenter fin août / début septembre si les conditions sont bonnes). Il faut se méfier aussi quand la pelouse est "sous" des arbres car vous risquez de saccager le jeune gazon lorsque vous aurez à ratisser les feuilles. On doit pouvoir contourner en semant tôt et en utilisant un souffleur de feuilles plutôt qu'un râteau pour les ramasser. Pour le semis du gazon, je vous renvoie à ma page "Comment semer le gazon". Le sursemis se pratique après une scarification ou un ratissage vigoureux pour "réparer" une pelouse dégarnie. Le mieux est de passer le scarificateur pour dégager le sol, de répandre des graines bien choisies (pas la peine de prendre des graines enrobées d'engrais et de fongicide vendues sous l'appellation "gazon de regarnissage") et de finir par une bonne couche de compost (±1cm) et un doux arrosage.

Ramassage des feuilles.

Les feuilles qui tombent à l'automne ne doivent pas rester trop longtemps sur la pelouse car elles privent de lumière les plantes qui n'en ont jamais trop. Pour les ramasser une astuce intéressante est d'utiliser la tondeuse à gazon. Les feuilles seront ainsi plus ou moins déchiquetées et cela facilitera leur compostage. Ne jetez surtout pas vos feuilles, si vous les compostez, elle fourniront un des meilleur terreau qui soit. Elles peuvent aussi être utilisées pour pailler (protéger) les plantes fragiles.

Hivernage de la tondeuse.

Il est sage de purger le réservoir de la tondeuse (pour éviter les phénomènes de corrosion et d'encrassement du carburateur). Eventuellement vous pouvez au contraire remplir à ras bord le réservoir (évite la corrosion) et ajouter un additif de conservation de l'essence (évite d'encrasser le carburateur). Dévissez la bougie et faite tomber une goutte d'huile dans le carburateur. Si vous devez changer la bougie, attendez le printemps, après un premier démarrage de la tondeuse (et la fumée noire entraînée par la goutte d'huile mise dans le carburateur). Vous pouvez en profiter aussi pour contrôler l'équilibrage de la lame et l'affûter.Bien nettoyer le carter. Surtout pour les carters en acier qui pourraient rouiller pendant l'hiver.

Voir aussi la rubrique entretien de la tondeuse.

source : Mongazon.fr

mercredi 24 octobre 2007

Réparer définitivement les fissures du plâtre

Les moulures et les rosaces de plâtre font partie de l'héritage architectural du Québec. Il existe des centaines de formes différentes de moulures qui décorent les plafonds et les murs des vieilles demeures. Elles sont toutefois sujettes aux fissures tout comme les plâtres des murs et des plafonds. Ces fissures peuvent généralement être réparées par des plâtriers mais les entrepreneurs généraux ont facilement tendance à suggérer au consommateur d'enlever les vieux plâtres et de les remplacer par du placoplâtre parce que c'est plus sûr et plus économique. Voici donc quelques notions peu connues sur la réparation des plâtres qui vous permettront peut-être de conserver ces précieux ornements.

Plâtre traditionnel ou composé à joint ?

Il faut tout d'abord distingué le plâtre traditionnel du composé à joint. Le plâtre est posé en 2 couches: la première étant le support et la deuxième la finition. La première couche est composée de plâtre à crépir et est allégée à l'aide de vermiculite ou de perlite. Elle sert à recevoir la couche de finition. La deuxième couche se compose de 1/3 de plâtre de Paris et de 2/3 de chaux hydratée. Pour faire une finition parfaite la chaux doit être préparée environ 18 heures avant sa pose, le surplus peut être conservé pendant plusieurs mois dans un récipient fermé.
Les caractéristiques principales du plâtre sont: sa rapidité de prise (environ 3 à 4 minutes), son manque d'adhérence et le fait qu'il gonfle en séchant. On peut ajouter entre 5 à10% de plâtre à doser (plâtre à prise lente) pour augmenter le temps de prise à 10 ou15 minutes.
Au contraire, le composé à joint pour placoplâtre est très long à sécher (12 heures et plus par couches minces), il a une forte adhérence et diminue de volume en séchant.

Le plâtre hybride

Comme les deux produits sont très compatibles ont peut ajouter du plâtre de Paris et de l'eau au composé à joint afin d'obtenir un produit hybride combinant les qualités des deux produits. Ce plâtre hybride durcit en 10 minutes et plus (selon le dosage de plâtre), il adhère bien aux surfaces déjà peintes et ne change presque pas de volume en séchant.
Il a aussi un avantage majeur pour la rénovation, ce plâtre hybride empêche la formation de bulles d'air lorsqu'on le pose sur des surfaces déjà peintes. En effet, le composé à joint standard est conçu pour être posé sur une surface absorbante comme le placoplâtre, lorsqu'on l'utilise sur une surface peinte il se forme de petites bulles d'air en surface, causées par l'évaporation de l'eau. En ajoutant du plâtre au composé celui-ci durcit avant l'évaporation de l'eau et empêche la formation des bulles.Produits alternatifsD'autres produits tels que le Durabond peuvent servir à la réparation des fissures. Celui-ci sèche rapidement (45 à 90 minutes), mais se sable et se lave plus difficilement. Ce type de produit est surtout recommandé aux professionnels car il exige une certaine rapidité et une bonne qualité d'exécution.

Réparation

- Plâtre fissuré mais solide

Si le plâtre est fissuré mais qu'il est encore solidement fixé après les lattes de bois, je vous conseille de le réparer. S'il s'agit de petites fissures, on peut simplement les couvrir qu'un ruban de fibre de verre auto-adhésif, de recouvrir ce ruban de composé à joint standard (pour une bonne adhérence) puis de 2 autres couches de plâtre hybride débordant d'un pied (30cm) de chaque côté de la fissure. Si les fissures sont nombreuses, il est préférable de laver la surface, de poser un ruban de fibre de verre sur les fissures et de tout recouvrir d'un nouveau plâtre hybride de 1/8" à 1/4" d'épais.

- Plâtre fissuré se détachant

Si le plâtre s'effrite et qu'il se détache des lattes de bois, trois solutions vous sont offertes :

1- Dégarnir le plâtre en conservant les lattes de bois et en posant un nouveau placoplâtre. Cette solution détruit les moulures de plâtre mais permet de conserver les boiseries (plinthes et cadrages) de la maison sans les enlever ni les endommager.

2- Couvrir le vieux plâtre d'un nouveau placoplâtre (Voir illustrations). Cette méthode permet d'éviter la démolition des plâtres mais nécessite qu'on visse le placoplâtre dans les fourrures des plafonds et non dans les lattes. On doit aussi vérifier si la structure des plafonds est suffisamment rigide pour supporter ce nouveau poids.

3- Enlever complètement le vieux plâtre et la latte de bois et poser un nouveau panneau de placoplâtre. Cette pratique permet de refaire la plomberie et l'électricité, l'isolation, l'insonorisation, le vissage des planchers de bois franc par en-dessous, etc.

- Trouver la source des fissures

Avant de refaire les plâtres, il est important de trouver la source des fissures et d'y remédier sinon les fissures réapparaîtront rapidement.. Tous les mouvements des fondations et de la charpente peuvent créer des fissures, les variations d'humidité (dans les entretoits) et les vibrations causées par les véhicules lourds peuvent aussi faire décoller le plâtre des lattes.

Refaire les moulures

Un plâtrier compétent (pas un tireur de joints) peut faire un moule à partir de vos moulures existantes et réparer les parties fissurées. Par contre, si les moulures sont trop fissurées ou si leur support est instable il sera probablement plus économique de faire le moule, de démolir le tout et de refaire les moulures de plâtre entièrement sur un nouveau support de placoplâtre. Ce travail est très long et physiquement très exigeant. Le plâtrier peut prendre 3 heures pour réaliser un seul coin (selon la moulure). Les moulures doivent être réalisées intégralement en plâtre traditionnel de finition. Comme celui-ci adhère mal au support de placoplâtre, on utilise une colle spéciale pour plâtre ou béton (type Plastercem) pour le faire adhérer.

Le coût des travaux

Le coût des travaux dépend de la complexité de la moulure et du nombre de coins à réaliser. Le moule coûte entre 50 et 90 $, chaque coin coûte entre 50 et 85$ et la moulure entre 6 et 12$ du pied linéaire. Refaire un nouveau plâtre au plafond revient à 1$ par pied carré. Le plafond et les moulures d'un salon de 12' X 16' peuvent donc coûter entre 800 et 1200$.

vendredi 19 octobre 2007

Misterbricolo loue son matériel de bricolage sur Zilok.com

Jusqu'ici on connaissait les locations de biens immobiliers ou de voitures. Mais louer une perceuse, un barbecue ou encore un sac à main, ça vous est déjà arrivé ?
Et bien désormais ça devient possible sur le site Zilok.

Cette plateforme de location vient tout juste d'ouvrir ses portes. Zilok met en relation les particuliers et les professionnels et permet à la foi de louer et de mettre en location toute sorte de biens. Facile de s'y retrouver : les produits sont rangés dans chaque catégorie avec notamment Travaux & Bricolage, Sport & Loisirs, Son & Image, Culture & Media, etc.

Quelques clics suffisent. L'inscription est gratuite et les frais d'insertion varient entre 0,05 € et 0,50 €. Les commissions vont quant à elles de 1 € à 26,6 € selon la valeur de la location.
Notons que les frais d'insertion et de commission restent gratuits jusqu'au 1er janvier 2008.

Source : La vie Numérique

samedi 13 octobre 2007

Chasse "presque tout" (moustiques, mouches etc.),

Pour éviter d'être envahi par mouches, moustiques, guêpes, araignées et insectes divers, les 2 vieilles recettes qui suivent vous surprendront par leur efficacité:

- Si vous cultivez des tomates sur votre balcon (culture très simple) ou dans votre jardin, déposez simplement 1 branche dans chacune des pièces. Tous les insectes fuiront.

- Déposez simplement une coupelle contenant un peu d'ammoniaque sur le rebord de vos fenêtres.


En cas de piqûre Moustiques :
- Pensez à mettre un pot de géranium sur votre balcon, dans le jardin ou même sur le rebord de la fenêtre : le géranium a depuis toujours la réputation d’éloigner les moustiques, Quand 1 moustique vient de vous piquer, cueillez immédiatement une feuille de géranium, écrasez-la un peu et appliquez-la sur la piqûre... L’irritation diminuera très vite..."

Source : Auguste.fr